Saison de Lille

Voici ma recette pour la bière que j’ai soumise au MiniAler.

Ça ne sera pas facile à répliquer, car j’ai utilisé des levures sauvages récoltés sur le balcon de mon ancien appartement et des Brettanomyces provenant de lie de bouteilles d’Auval et de Tête d’Allumette. Mais ça ne veut pas dire qu’il faut se laisser intimider par les levures sauvages. C’est super facile d’en “attraper” mais ça ne donne pas toujours des résultats intéressants.

Sinon, vous pouvez utiliser une levure pas trop expressive, mais diastatique, en primaire et un bon mélange de Brett tel Mothership Brett blend d’Escarpment ou All the Bretts d’Omega Yeast.

Saison de Lille

Grisette sauvage

OG : 1.034
FG : 1.007

Grains

55 % malt pilsner
30 % blé malté
15 % Munich

Houblon

16 IBU Styrian Goldings (First wort hopping)
4 IBU Styrian Goldings (5 min)

Eau

Eau de Montréal, ajuster pH à 5.4 avec acide lactique

Levures

  • Fermentation primaire : levure(s) sauvage(s) récoltée(s) sur une fleur de concombre du balcon de mon appartement de la rue de Lille à Ahuntsic. Faire une pré-culture correspondant à 2.5% du volume total.
  • Fermentation secondaire : Mélange de lies de Auval (Saison Espinay) et Tête d’Allumette (Tête de Houblon 28). Faire une pré-culture correspondant à 5% du volume total.

Empâtage

15 min à 50°C
60 min à 65°C
10 min à 75°C

Ébullition

60 minutes

Fermentation

  • Fermentation primaire pendant 21 jours à 24°C avec levure(s) sauvage(s)
  • Transfert en tourie et ajout de 5 % du volume avec culture de mélange de lies (“pré-culture” de 21 jours à 21°C avec le même moût).
  • Fermentation secondaire pendant 2 mois à 21°C
  • Embouteillage (3 volumes de CO2) et vieillissement pendant au moins deux semaines (deux mois total pour le MiniAler).
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Have you tried the wild capture yeast by itself? What flavors did it contribute?

Interestingly, I found the flavour from this particular wild capture to be relatively boring. The beer was dry and a little malty. Nothing in the range of spicy, yeasty or phenolic.

I did not initially plan to drop bottle dregs in secondary fermentation, but the lack of a particular expression did encourage me to pimp the beer with some Brettanomyces. It truly made a huge difference.